Reims
Photo P.Maréchal
pour aller au jardin du Luchrone…
… après la Basilique, le mieux est de prendre le Boulevard Dieu Lumière
Les villes évoluent. Depuis 1989 le Luchrone de Reims, alias “La Coquille” a déménagé plusieurs fois.
Le jardin près du canal est propice à la méditation. C’est le nouveau lieu choisi après le référendum lancé par M. Robinet le nouveau maire. De mon côté je ne regrette pas le carrefour bruyant de la Place de la République.
La coquille installée dans son jardin
M. Muller et moi avons bravé le froid de février
Programmer avec des gants ralentit la saisie ; ça change de l’atelier. Mais la joie du succès est au bout des doigts gourds.
Je teste des LEDs “maison”. La réalisation est audacieuse. Les 324 sources de lumière sont faites à la main. Il fallait y penser : des rubans de LEDs du commerce sont enroulés et collés sur un tube avec un culot E27 au bout. Voilà une lampe révolutionnaire, économique et très solide.
Bien obligés de devancer les industriels : M. Muller et ses collègues professeurs du lycée Saint Jean-Baptiste de la Salle ont innové. Pas encore de LEDs qui conviennent ? Pas grave, on en crée. Du coup, la lumière de la Coquille de Reims est “faite main”. Une authentique oeuvre d’Art.
Les sculptures urbaines doivent supporter le vent, la pluie, le froid et … la dégradation. Des quatre intempéries c’est la dernière la plus constante. Les habituels petits malins ont lancé des cailloux pour vérifier que le verre, ça casse. Mais on voit que le plastique des lampes “made SJBS” tient mieux le coup que les ampoules du commerce.
J.P. Lebaigue signe les soudures
Au générique de cet épisode : mes vifs remerciements à Mme et MM. :
Robinet (Maire) ; M. Labelle ; M. Arnaldi (culture) ; Mme Bezaury (organisation et production) ; Muller (électronique et Rapsberry et LEDs) ; Besancenez (SJBS) ; Jobard (dir. tech. Ville) ; Janot (Prisme) ; Frey (Union de Reims) ; Pienne (Métropole).